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Etre électrosensible au quotidien
17 mai 2006

Un mois de septembre autour des dents (2)

Historique des événements  subis(4)

[Le défilement des textes est  inversement chronologique dans cette rubrique. Le début de l'historique se trouve aussi à la date du le 7/03/06.  ]

        Malgré la dépose des implants, mon état n'a subi une amélioration que de quelques dizaines de minutes lors de ma présence dans le cabinet dentaire. J'essaie donc d'avoir un rendez-vous le plus rapidement possible avec mon dentiste sur Angers et j'ai la surprise de constater que c'est un nouveau car le mien est parti sans prévenir sa clientèle. Je n'ai donc pas la possibilité de prendre du recul sur les comprétences de ce dernier, que je trouve très jeune soit dit en passant (mais bon, il faut bien commencer un jour !), car la douleur m'est de nouveau intolérable. J'ai néanmoins l'espoir que sorti récemment de l'université, ce dentiste soit un peu informé des inconvénients des métaux dentaires et de l'impact occasionné en présence d'électricité.
        J'obtiens un rendez vous dès le lundi et je lui explique mon cas en lui demandant le retrait de tous les métaux (plombages et couronnes dans ma bouche). Bien que très sceptique devant ma requête, il accepte de procéder à la substitution progressive des métaux par d'autres matériaux provisoires. Pourtant son discours est révélateur de son ignorance sur les faits que je subis ; sa seule connaissance est l'existence de galvanie (création d'électricité dans la bouche à cause de a présence simultanée d'un conducteur - la salive - et de l'existence de métaux de différentes natures au niveau des dents). Au fur et à mesure des retraits, je note  mes sensations (pathologies_dentaires.doc) car le chirurgien dentiste qui m'a posé les implants désire connaître l'évolution des faits.

        En conséquence, durant tout le mois de septembre, je vais progressivement remplacer les amalgames et les couronnes qui sont présents dans ma bouche. Malheureusement, je ne sais pas à l'époque que ce genre d'opération doit se faire avec un maximum de précaution afin d'éviter d'intoxiquer un peu plus les patients, notamment avec le mercure. (cf site www.sevaonline.com ). J'ai peut-être donc inhaler encore plus de particules métalliques que je n'en avais déjà dans le corps.
        Fin septembre, il ne me reste plus qu'une seule dent à traiter. Mon état s'est amélioré même si ce n'est pas la panacée. Je suis assez en colère contre le fait que cette dent a été réalisée durant l'année en céramique (d'où un coût important) et que le dentiste ne peut en aucun cas l'enlever sans la casser. Mais puisque c'est en ôtant toute source métallique  que je saurais vraiment si le problème est à ce niveau, je ne peux que m'y résoudre. Le 8 octobre, le dentiste procède donc à la découpe de la couronne sur la prémolaire (maxillaire inférieure droit) et ôte l'inlaycor, c'est-à-dire la partie qui sert de pivot à la dent et qui est elle aussi métallique. A l'instant où ce dernier est enlevé, je vais me retrouver avec un soulagement musculaire important sans précédent, une absence de tension cervicale et surtout un mal de tête qui a décidé de migrer vers les abonnés absents !
        Voilà donc LA dent qui posait problème ! Evidemment, la dernière traitée ! Puis-je me dire que les douleurs se seraient estompées plus vite si cette dent avait été traitée avant les autres, ou dois-je considérer que c'est parce que plus aucun métal n'était présent dans ma bouche que je n'avais plus de symptômes ? Les deux hypothèses sont envisageables et je n'aurais de réponse qu'en fin de mois quand cette dent sera à nouveau traitée de façon définitive. Pour l'instant, je savoure mes instants de relaxation et de réflexion sans migraine.
       Cela ne durera que quatre petites semaines...

LES FAITS, ce jour 16 mai 2006

        Le réveil se fait assez difficilement car je n'ai pas l'impression d'avoir dormi vraiment mais je ne suis pas très sensible aux ondes à mon lever. Je suis étonnée de constater que j'ai une certaine énergie... à la réflexion, c'est sûrement le stress car j'ai une rendez-vous important ce matin. Là où je me rends, je ne peux pas échapper à la présence des néons et des ordinateurs en série. Je ressens sur place un petit écrasement des tempes mais j'essaie tant bien que mal d'y faire abstraction.
        Puis ne me rendant à la bibliothèque, la douleur s'accentue au niveau de certains rayons. Je n'ai pas encore réussi à cibler où pouvait se situer les émetteurs de wi-fi mais il est clair que certaines zones me sont intolérables. Tant pis pous l'image, je mets la casquette pour faire le travail que je dois effecuer sur place. Sincèrement, si je me mets à la place d'une personne qui m'observerait, et qui me verrait metter la casquette à l'intérieur et l'ôter lorsque je sors, je suis sûreque je me poserais plein de questions et me demanderais  si je ne suis  pas dérangée...

        Retour chez moi en milieu d'après-midi. Je conserverais la casquette tout le temps. Pourtant, je n'ai pas d'impression de fatigue.
        Le soir, je me rends au cinéma : je constate malheureusement que les douleurs apparaissent par intermittence de façon assez irrégulière durant la projection. Je ne sais pas quelle peut en être la cause. La fatigue doit être trop présente ou j'ai dû "encaisser" trop d'ondes aujourd'hui car cela faisait quelque temps déjà que je pouvais voir un film sans douleur. C'est encore des zig-zags dans la progression...

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  • Témoignage au quotidien des conséquences sur ma vie, ma santé et mon comportement de la technologie des ondes électromagnétiques. Pour ouvrir les yeux à une société technologique qui a oublié le BIOLOGIQUE
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