Iode versus oméga 3

        Je suis fatiguée mais je tiens néanmoins à aller aux entraînements de sport; au moins, cela me permet d'éliminer quelques toxines même si je suis loin d'avoir un rendement optimal. Je me traîne !

        Aujourd'hui, je me dis que l'Iode n'a pas fait son effet, comme je l'escomptais et qu'il semblerait que mon hypothèse soit fausse sur le rôle de cet oligoélément. Néanmoins, comme une fois ne suffit pas je continue sur trois jours à manger des huîtres le soir.
Un élément extérieur vient aussi me faire douter de ma conjecture. En effet, les fruits de mer et les oeufs de poissons m'avaient fait penser à cet oligoélément, mais j'avais aussi envisagé la possibilité d'une action des omégas 3. Pourtant, j'ai rejeté rapidement cette hyptothèse sous prétexte que je prenais des omégas 3 en gélule. Or, je suis rentrée sur le site du Dr David Servan-Schreiber pour me renseigner sur les sortes d'oméga 3 qu'il préconise. Il y a un tableau comparatif sur différents produits qui montrent la teneur en cette molécule dans les gélules. Et à mon grand étonnement, les pourcentages varient du simple au quadruple. Donc, il est possible que les omégas 3 que je prends ne soient pas en quantité suffisante et que les produits de la mer fassent le complément. De plus, une amie me dit qu'elle prend des omégas 3 avec un produit à base d'huile de Capletan (un poisson). Or, ce sont les oeufs de poisson qui me permettent d'aller mieux. Ainsi, puis-je émettre l'hypothèse que ce n'est pas l'iode qui concourrent à mon mieux être mais bien les omégas 3.

           Je vérifierai cela par la suite car je compte commander des omégas 3 dont la teneur est validée à 90%; de plus, je vais demander à mon médecin si je peux avoir une analyse sanguine pour l'Iode. La discussion scientifique est donc ouverte. Je précise que, bien que biologiste  je n'ai pas suffisamment de connaissances en physiologie pour connaître l'impact de l'iode au niveau cellulaire, ni celui des omegas 3. Mais je vais me renseigner !

LES FAITS, ce jour 12 mars 2006

         La nuit fut une fois de plus superficielle. Des réveils nombreux mais suivi d'une retombée dans le sommeil immédiate. Ce qui est pénible est cette impression d'être en permanence en train de penser et de ne pas sombrer dans un sommeil lourd. Le réveil fut douloureux avec la sensation d'une surpression dans le crâne. Une migraine suivant rapidement.
         Dès le petit déjeuner, port de la casquette.  Je pars pour l'entraînement et sur place, dois évidemment la quitter. Des picotements me parcourent la tête puis je n'y prête plus attention. Par contre je suis très fatiguée et les yeux me tirent au bout d'un demi- heure.
         Je pars me promener cette après-midi dans un endroit limitrophe de la ville en bordure de campagne. Le début de la ballade se passe au mieux (je garde la casquette tout de même!) puis tout à coup, je dis à l'amie qui m'accompagne: "C'est bizarre, il doit y avoir une antenne quelque part car les tempes commencent à me serrer". Après un petite recherche visuelle, on aperçoit effectivement une antenne localisée sur un château d'eau. Après s'être éloignées de deux cents mètres, je suis à nouveau relâchée. Je dois aussi noter qu'aujourd'hui, il fait froid et beau. Or, cela fait plusieurs fois que je constate que les douleurs sont plus intenses par beau temps.
        Retour chez moi. Arrivée dans la zone de l'antenne près de chez moi, j'ai soudainement mal au ventre et envie de vomir. La nausée passe peu à peu.

     Modification que je désire noter au niveau du traitement: je n'ai plus de comprimé de magnésium (oubli de renouveller l'achat )